L'abandon véritable ne consiste pas seulement à demander de l'aide, mais aussi à s'offrir au plan de Dieu. Dans le cadre du Programme, j'ai appris à demander de l'aide à Dieu. "Aide-moi à être sobre ! Aide-moi à me détourner de la luxure ! Aide-moi à capituler ! Aide-moi ! Aide-moi ! Aide-moi !" Alors que je renforce ce muscle - ce qui nécessite parfois un acte de confiance totale - je change également ma perspective vers une manière plus douce.
Je m'appelle Steve et je suis un sexolique en voie de rétablissement. Grâce à la grâce de Dieu, au parrainage et au Programme, je suis sobre depuis le 20 août 2013. Je n'ai pas eu de relations sexuelles avec moi-même ou avec quelqu'un d'autre que mon épouse depuis plus de 11 ans. J'ai également connu une victoire progressive sur la luxure.
Il a continué à rechuter jusqu'à ce qu'il change ce qu'il recherchait. Je suis un dépendant extrême. J'ai été dans la dépendance active pendant près de quarante ans. J'ai finalement été entraîné dans le Programme il y a quatorze ans. Aujourd'hui, je suis sobre depuis deux ans et trois mois. Faites le calcul.
Nous étions en réunion, animée par un membre local. Pendant un moment de silence, nous avons entendu un craquement. Nous ne savions pas d'où venait ce bruit. Un autre craquement a suivi, puis un autre.
L'abandon à Dieu m'a conduit au miracle de la vraie sobriété. Bonjour, je m'appelle Amr R. et je viens d'Égypte. À l'âge de 10 ans, j'ai commencé à me toucher, mais j'ai arrêté parce que ma mère m'a dit que j'irais en enfer si je faisais cela. J'ai découvert la pornographie à l'âge de 18 ans et je suis rapidement devenu dépendant, incapable d'arrêter de me masturber ne serait-ce qu'une semaine. J'ai rejoint les SA à l'âge de 19 ans, il y a seulement un an. Ma première réunion s'est déroulée sur Zoom. J'ai rejoint les SA parce que je me masturbais compulsivement en regardant de la pornographie. Lorsque je suis arrivé aux SA, j'ai pu arrêter de passer à l'acte pendant 14 jours grâce aux gens ici - ils m'encourageaient, m'affirmaient et m'aimaient !
La luxure a toujours fait partie de moi, bien avant que je ne connaisse son nom. Elle m'avait revendiquée comme l'une des siennes dans les ténèbres qui allaient devenir mon sexolisme, une prison de la taille de l'univers que j'avais moi-même créée. Ma maladie a été discrètement progressive. Certains diront que je n'ai pas touché le fond puisque ma vie n'a jamais été complètement bouleversée par mes nombreuses rechutes.
True surrender isn’t just asking for help—it’s offering ourselves to God’s plan. In the Program, I’ve been building the muscle of asking God for help. “Help me be sober! Help me turn away from lust! Help me surrender! Help me! Help me! Help me!” As I strengthen this muscle—which sometimes requires an act of complete reliance—I’m also shifting my perspective to a gentler way.
Courage isn’t fighting lust—it’s surrendering it to God. My name is Steve, and I’m a recovering sexaholic. By God’s grace, sponsorship, and the Program, I’ve been sober since August 20, 2013. I haven’t had sex with myself or with anyone other than my spouse for over 11 years. I’ve also experienced some progressive victory over lust.
He kept relapsing until he changed what he was looking for. I’m a low-bottom drunk. I was in active addiction for almost forty years. I was finally dragged into the Program fourteen years ago. Now, I’ve been sober for two years and three months. You do the math.
We were in our meeting, led by a local fellow. During a moment of silence, we heard a crack. We didn’t know where the sound came from. Another crack followed, and then another. Slowly, one fellow sank to the floor. One of the legs of his plastic chair had completely broken, and he was now on the floor. We were all surprised, and then we burst out in laughter. I told him, “Relax, fellow—that doesn’t count as a relapse.”
