Donner du temps à ma famille, c’est aussi un service
À mes débuts en SA, j'étais célibataire, sans emploi, sans voiture, sans argent et avec beaucoup de temps. C'était en 2009, et à cause de la crise économique, j'étais au chômage. J'assistais à trois ou quatre réunions par semaine, j'appelais mon parrain tous les jours, j'écrivais mon travail d'étape tous les jours et j'ai traduit l'intégralité du Livre blanc, du Gros Livre et du livre ‘Le rétablissement se poursuit’ dans ma langue maternelle en un an.